Savez vous qu'embrasser signifiait à l'origine prendre dans ses bras ?
Et que de là vient le proverbe : Qui trop embrasse mal étreint
Mais alors que fait-on lorsque l'on embrasse du regard, dites moi ?
Prend-on l'objet du coup d'oeil contre son sein ?
Et si baiser est bel et bien l'action de poser ses levres sur quelqu'un
il est sur que la tendresse s'exprimera différemment si je dis : embrasse moi
ou si, tout aussi doucement, dans un chuchotement, je demande : baise moi !
Et, disant les deux, je me demande, des levres ou des bras ce que j’aurai comme calin ?
vendredi 14 décembre 2007
Dans la théiere
On trouve mille choses dans ma théiere,
et quand on remue à la cuillere,
on ne sait ce que l'on trouvera derriere.
C'est un véritable bestiaire,
où se melent glace plombiere et fleurs de bruyère,
lance-pierre, sorcière en montgolfiere, souffle incendiaire,
et d'étagées rizieres, ainsi que des ornières et une école buissoniere....
En revanche, il est une chose que l'on n'y trouve pas, c'est de la biere !
et quand on remue à la cuillere,
on ne sait ce que l'on trouvera derriere.
C'est un véritable bestiaire,
où se melent glace plombiere et fleurs de bruyère,
lance-pierre, sorcière en montgolfiere, souffle incendiaire,
et d'étagées rizieres, ainsi que des ornières et une école buissoniere....
En revanche, il est une chose que l'on n'y trouve pas, c'est de la biere !
Texte sans E
Il broutait tant, battant un voisin mammouth, sans voir qu'un plouc avalant du fast-food appochait fissa, chantonnant. Sitôt d'un coup occipital radical, il tua illico, incognito au napalm un play-boy fringuant ! Quand l'ouragan chauffant fut parti, il avala un craquant biscuit, triomphant d'avoir vaincu ainsi l'insignifiant garçon qui manquait par trop d'attrait piquant ! Un safari-photo fut plus attrayant, s'il n'avait plu autant ! Aussi, abassourdi, titubant il s'abandonna sur l'astrakan, pratiquant sans gant, la masturbation sur un air tout à fait samba (ou mambo, pop, rock, punk, jazz... au choix ! )
jeudi 15 novembre 2007
Dimanche
Le jour du Seigneur n'est plus ce qu'il était !
J'ignore si l'ouverture des magasins le dimanche explique ce fait ?
Toujours est-il que le vulgus pecum s'affaire ce jour aussi,
moi même ayant noté dans mon vade-mecum : faire du menage aujourd'hui !
J'ai joué la femme d'interieur épanouie qui se pâme,
d'oeuvrer pour le bonheur de sa communauté familiale.
Je me convainquais donc que le repassage n'est pas un drame,
et qu'il me fallait m'y coller avec un sourire jovial.
Je m'attaquais ensuite à la caisse du chat,
et là tout de suite, ça se voit !
L'air est tout de suite plus leger
avant même d'avoir ouvert les fenêtres pour aérer !
Quel bonheur ineffable que de dépoussierer, aspirer,
lancer des machines qui lavent sans rechigner,
pour bientôt pouvoir recommencer à repasser.
C'est merveilleux ces plaisirs simples de tout ranger !
"Chéri ! Quand tu auras fini de dormir sur le canapé,
tu voudras bien descendre les poubelles si c'est pas trop demander ?"
J'ignore si l'ouverture des magasins le dimanche explique ce fait ?
Toujours est-il que le vulgus pecum s'affaire ce jour aussi,
moi même ayant noté dans mon vade-mecum : faire du menage aujourd'hui !
J'ai joué la femme d'interieur épanouie qui se pâme,
d'oeuvrer pour le bonheur de sa communauté familiale.
Je me convainquais donc que le repassage n'est pas un drame,
et qu'il me fallait m'y coller avec un sourire jovial.
Je m'attaquais ensuite à la caisse du chat,
et là tout de suite, ça se voit !
L'air est tout de suite plus leger
avant même d'avoir ouvert les fenêtres pour aérer !
Quel bonheur ineffable que de dépoussierer, aspirer,
lancer des machines qui lavent sans rechigner,
pour bientôt pouvoir recommencer à repasser.
C'est merveilleux ces plaisirs simples de tout ranger !
"Chéri ! Quand tu auras fini de dormir sur le canapé,
tu voudras bien descendre les poubelles si c'est pas trop demander ?"
samedi 10 novembre 2007
L'art !
Quelqu'un aurait vu mon inspiration trainer quelque part ?
Je me demande où elle est passée, il se fait déjà tard !
Puisque celle-ci joue les pudiques,
je (me) lance un defi de rime en ique !
Je regardais une toile apocalyptique achromatique,
qui etait decrite au catalogue comme de l'art authentique !
L'artiste druidique, evoquait une hypothetique rhetorique
au gout melodramatique et totalement fantasmagorique !
Je tentais de rester stoïque devant ce discours tragique,
qui semblait enthousiasmer toute la clique !
Je doutais d'être detentrice de toute émotion artistique,
et tentais de garder la face en effectuant d'horribles mimiques !
L'homme expliquait comment il lançait la non-couleur à l'élastique,
en respectant des ondes électromagnetiques sur des chants tantriques !
Je dois avouer que je restais fort septique !
Sans vouloir être nullement ironique ou particulierement critique,
j'envisageais serieusement de laisser s'exprimer mes zygomatiques !!!
Ce que je fis brusquement et qui me valut d'être huée par le public,
et raccompagnée illico en direction du portique !
La prochaine fois, j'irai dans un etat avancé d'impregnation alcoolique,
je comprendrai mieux les méandres de la création artistique !
Je me demande où elle est passée, il se fait déjà tard !
Puisque celle-ci joue les pudiques,
je (me) lance un defi de rime en ique !
Je regardais une toile apocalyptique achromatique,
qui etait decrite au catalogue comme de l'art authentique !
L'artiste druidique, evoquait une hypothetique rhetorique
au gout melodramatique et totalement fantasmagorique !
Je tentais de rester stoïque devant ce discours tragique,
qui semblait enthousiasmer toute la clique !
Je doutais d'être detentrice de toute émotion artistique,
et tentais de garder la face en effectuant d'horribles mimiques !
L'homme expliquait comment il lançait la non-couleur à l'élastique,
en respectant des ondes électromagnetiques sur des chants tantriques !
Je dois avouer que je restais fort septique !
Sans vouloir être nullement ironique ou particulierement critique,
j'envisageais serieusement de laisser s'exprimer mes zygomatiques !!!
Ce que je fis brusquement et qui me valut d'être huée par le public,
et raccompagnée illico en direction du portique !
La prochaine fois, j'irai dans un etat avancé d'impregnation alcoolique,
je comprendrai mieux les méandres de la création artistique !
Reflexion suite...
Partant du postulat que le fait de recevoir une boule de petanque sur le nez est une situation redoutée, quels élements de defaillance est-il le plus utile d'eviter pour amoindrir la probabilité ?
Comme il est peu commode de dessiner ici, nous tenterons d'expliciter la demonstration sans schéma (cela complique certes, mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?)
=== > Hypotheses :
Je reçois la boule de pétanque sur le nez car :
1. Je me suis disputée avec un joueur de pétanque
2. J'ai rencontré une folle qui mène des experiences
3. J'ai pas de bol
4. Toute façon, chuis qu'une merde !!!
=== > Tentatives de Résolution :
1. a J'evite de m'approcher des joueurs de boule
1. b J'evite de me disputer avec un joueur de boule
1. c Je prends les devants et eclate le joueur de boule
1. d Je pratique l'art de l'esquive
1. e Je reste chez moi d'ailleurs le temps est tout pourri
2. a J'evite de m'approcher d'une folle qui fait des experiences
2. b Je tente de convaincre la folle que ses experiences sont inutiles
2. c Je pratique l'art de l'esquive
2. d Je tente de proposer une autre cible à la folle
2. e Je propose la meme experience avec une tranche de pain de mie
2. f Je reste chez moi d'ailleurs le temps est tout pourri
3. a Je vais voir un marabout pour faire revenir la chance avec moi
3. b Je pratique l'art de l'esquive
3. c Je reste chez moi d'ailleurs le temps est tout pourri
4. a Je me suicide
4. b Je pratique l'art de l'esquive
4. c Je reste chez moi, d'ailleurs le temps est tout pourri et toute maniere je sais pas quoi faire et toute maniere chuis qu'une merde.
=== > Conclusions :
Il apparait tres clairement que pour eviter de prendre une boule de petanque sur le nez, la meilleure attitude a adopter est soit d'arriver à l'esquiver, soit de rester chez soi !
D'ailleurs, le temps est tout pourri !
Comme il est peu commode de dessiner ici, nous tenterons d'expliciter la demonstration sans schéma (cela complique certes, mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?)
=== > Hypotheses :
Je reçois la boule de pétanque sur le nez car :
1. Je me suis disputée avec un joueur de pétanque
2. J'ai rencontré une folle qui mène des experiences
3. J'ai pas de bol
4. Toute façon, chuis qu'une merde !!!
=== > Tentatives de Résolution :
1. a J'evite de m'approcher des joueurs de boule
1. b J'evite de me disputer avec un joueur de boule
1. c Je prends les devants et eclate le joueur de boule
1. d Je pratique l'art de l'esquive
1. e Je reste chez moi d'ailleurs le temps est tout pourri
2. a J'evite de m'approcher d'une folle qui fait des experiences
2. b Je tente de convaincre la folle que ses experiences sont inutiles
2. c Je pratique l'art de l'esquive
2. d Je tente de proposer une autre cible à la folle
2. e Je propose la meme experience avec une tranche de pain de mie
2. f Je reste chez moi d'ailleurs le temps est tout pourri
3. a Je vais voir un marabout pour faire revenir la chance avec moi
3. b Je pratique l'art de l'esquive
3. c Je reste chez moi d'ailleurs le temps est tout pourri
4. a Je me suicide
4. b Je pratique l'art de l'esquive
4. c Je reste chez moi, d'ailleurs le temps est tout pourri et toute maniere je sais pas quoi faire et toute maniere chuis qu'une merde.
=== > Conclusions :
Il apparait tres clairement que pour eviter de prendre une boule de petanque sur le nez, la meilleure attitude a adopter est soit d'arriver à l'esquiver, soit de rester chez soi !
D'ailleurs, le temps est tout pourri !
lundi 22 octobre 2007
...
L'oeil à la fenêtre
Arrêter l'instant, focaliser le temps, sacraliser l'emotion et à jamais l'imprimer,
ce moment où la vague brûle et submerge, et d'où les larmes viennent.
Des revolutions silencieuses qui nous impregnent et nous enseignent,
le simple fait que la vie est une emotion, et que sa richesse est de nous ebranler !
Arrêter l'instant, focaliser le temps, sacraliser l'emotion et à jamais l'imprimer,
ce moment où la vague brûle et submerge, et d'où les larmes viennent.
Des revolutions silencieuses qui nous impregnent et nous enseignent,
le simple fait que la vie est une emotion, et que sa richesse est de nous ebranler !
jeudi 11 octobre 2007
Alliterations
L'assassin assassinait sciemment ses saints obscurs,
sans se soucier des sons assourdissants offensant le silence.
Sa cecité à la souffrance s'amoncelait en sinécure,
salissant son essence, asservissant sa renaissance,
sauf à citer l'assujettissement des consciences ?
L' attitude altruiste n'altere en rien l'altitude autiste.
sans se soucier des sons assourdissants offensant le silence.
Sa cecité à la souffrance s'amoncelait en sinécure,
salissant son essence, asservissant sa renaissance,
sauf à citer l'assujettissement des consciences ?
L' attitude altruiste n'altere en rien l'altitude autiste.
samedi 22 septembre 2007
Folle journée
Ce matin quand je me suis levée, je me sentais nerveuse,
j'ignore la raison, j'avais bien dormi pendant des heures nombreuses.
Je sais qu'il n'est pas bon pour moi d'être nerveuse,
à chaque fois je finis la journée malheureuse !
Je dois demeurer sereine, sinon j'ai de la peine.
Alors, je me suis dit, ce n'est rien cela va passer,
certainement dans le courant de la matinée.
Effectivement, prenant sur moi de masquer cette legere tension,
j'avais presque le sentiment de maitiser cette interne pression.
Je dois demeurer sereine, sinon j'ai de la peine.
La matinée, bien que fraiche, était ensoleillée,
je decidais donc d'en profité avant que ne disparaisse l'été.
Passant par le parc, je goutait le spectacle des couleurs,
c'eut été fort agréable, s'il n'etait dans ma tête, cette legere douleur.
Mais je n'avais pas de peine, et je restais sereine.
Prenant le temps d'observer le lent bal des cygnes blancs,
avec leurs deplacements si doux et éleguants,
je trouvais même leurs cris aviaires... aviaires... aviaires ?
Non ! Que simplement, ils avaient une allure fiere !
Et je n'avais pas de peine, et je restais sereine.
La matinée s'est ainsi calmement étirée, tandis que,
contemplative, je tentais d'apprecier ce calme.
Oui ! Oui ! Je restais calme, alors qu'on m'avait volé mon palm !!!!
Je pense que c'est quand je cherchais dans mon sac, pour payer ce put*** disque !
Mais NON ! Je n'avais pas de peine, et je restais sereine !
C'était l'heure de déjeuner, j'allais rejoindre quelques voisins,
nous avons coutume de dejeuner ensembles tres souvent,
tres tres souvent, peut être même trop souvent, à la fin c'est enervant !!!!
Nous étions attablés, comme toujours à la même table, à la même place, c'est malsain !
Mais j'etais tellement sereine, SI, j'etais sereine, que je n'avais pas de peine !!!
J'ai mangé mon entrée, c'était des carottes rapées,
mais quand le plat est arrivé, là....là....là.... oui là,
j'ai vu que c'était de la lamproie, cette grosse saloperie de lamproie !
Je me suis retenue, j'avais envie, oui tellement envie de crier !!!!!
Je suis sereine là, oui, je suis sereine là, oui, mais j'ai de la peine là !!!!
Et là, brutalement tout s'est emballé, je n'ai pas crié, mais la lamproie,
a voulu me sauter à la gorge pour me boire le sang cette sangsue,
alors j'ai gratté, gratté, gratté mon cou pour le lui faire lacher, mon cou, sa proie,
j'avais du sang plein les doigts, et ce gros con à droite s'est marré avec sa tête de cul !!!!
Et là... et là, oh oui, là, ça m'a fait beaucoup de peine, et là, j'avais la haine !
Alors, je lui ai dit : TAIS-TOI !!! Et le gros cul à tête de con,
a continué de rigoler, alors j'ai bondi, et dans sa gorge j'ai planté mes dents,
planté et arraché, arraché, et arraché, et bon sang que c'etait bon !!!!!!
Il ne riait plus, et moi je me depechais de manger ce met meilleur qu'un ortolan !
Après je ne sais plus, je pense que les fantômes sont venus me chercher,
certainement m'ont maitrisé, ligoté, c'est ce qu'ils font le plus souvent,
quand il m'arrive parfois d'être un peu tendue et énervée,
ils ont du me faire la piqûre qui rend mes mouvements tellement lents.
Là, je suis allongée, je ne sais pas pourquoi, je ne peux pas bouger mes bras,
ni mes jambes non plus, mais ce n'est pas grave, je suis lasse, mon corps est las.
Et puis je suis bien, je suis tellement sereine.....
j'ignore la raison, j'avais bien dormi pendant des heures nombreuses.
Je sais qu'il n'est pas bon pour moi d'être nerveuse,
à chaque fois je finis la journée malheureuse !
Je dois demeurer sereine, sinon j'ai de la peine.
Alors, je me suis dit, ce n'est rien cela va passer,
certainement dans le courant de la matinée.
Effectivement, prenant sur moi de masquer cette legere tension,
j'avais presque le sentiment de maitiser cette interne pression.
Je dois demeurer sereine, sinon j'ai de la peine.
La matinée, bien que fraiche, était ensoleillée,
je decidais donc d'en profité avant que ne disparaisse l'été.
Passant par le parc, je goutait le spectacle des couleurs,
c'eut été fort agréable, s'il n'etait dans ma tête, cette legere douleur.
Mais je n'avais pas de peine, et je restais sereine.
Prenant le temps d'observer le lent bal des cygnes blancs,
avec leurs deplacements si doux et éleguants,
je trouvais même leurs cris aviaires... aviaires... aviaires ?
Non ! Que simplement, ils avaient une allure fiere !
Et je n'avais pas de peine, et je restais sereine.
La matinée s'est ainsi calmement étirée, tandis que,
contemplative, je tentais d'apprecier ce calme.
Oui ! Oui ! Je restais calme, alors qu'on m'avait volé mon palm !!!!
Je pense que c'est quand je cherchais dans mon sac, pour payer ce put*** disque !
Mais NON ! Je n'avais pas de peine, et je restais sereine !
C'était l'heure de déjeuner, j'allais rejoindre quelques voisins,
nous avons coutume de dejeuner ensembles tres souvent,
tres tres souvent, peut être même trop souvent, à la fin c'est enervant !!!!
Nous étions attablés, comme toujours à la même table, à la même place, c'est malsain !
Mais j'etais tellement sereine, SI, j'etais sereine, que je n'avais pas de peine !!!
J'ai mangé mon entrée, c'était des carottes rapées,
mais quand le plat est arrivé, là....là....là.... oui là,
j'ai vu que c'était de la lamproie, cette grosse saloperie de lamproie !
Je me suis retenue, j'avais envie, oui tellement envie de crier !!!!!
Je suis sereine là, oui, je suis sereine là, oui, mais j'ai de la peine là !!!!
Et là, brutalement tout s'est emballé, je n'ai pas crié, mais la lamproie,
a voulu me sauter à la gorge pour me boire le sang cette sangsue,
alors j'ai gratté, gratté, gratté mon cou pour le lui faire lacher, mon cou, sa proie,
j'avais du sang plein les doigts, et ce gros con à droite s'est marré avec sa tête de cul !!!!
Et là... et là, oh oui, là, ça m'a fait beaucoup de peine, et là, j'avais la haine !
Alors, je lui ai dit : TAIS-TOI !!! Et le gros cul à tête de con,
a continué de rigoler, alors j'ai bondi, et dans sa gorge j'ai planté mes dents,
planté et arraché, arraché, et arraché, et bon sang que c'etait bon !!!!!!
Il ne riait plus, et moi je me depechais de manger ce met meilleur qu'un ortolan !
Après je ne sais plus, je pense que les fantômes sont venus me chercher,
certainement m'ont maitrisé, ligoté, c'est ce qu'ils font le plus souvent,
quand il m'arrive parfois d'être un peu tendue et énervée,
ils ont du me faire la piqûre qui rend mes mouvements tellement lents.
Là, je suis allongée, je ne sais pas pourquoi, je ne peux pas bouger mes bras,
ni mes jambes non plus, mais ce n'est pas grave, je suis lasse, mon corps est las.
Et puis je suis bien, je suis tellement sereine.....
samedi 1 septembre 2007
Encore une histoire debile
Vous ai-je déjà raconté l'histoire de la princesse grenouille ?
Ah ben, c'est normal, je suis en train de l'inventer !
Il était donc une fois, une princesse pleine de curiosité,
mais à trop s'aventurer par monts et par vaux, un jour, elle se trouva nouille !
En effet arrivée dans une clairière eloignée,
elle se retrouva brusquement nez à nez,
avec une sorciere fort mal embouchée,
qui presque aussitôt en grenouille a la princesse transformé !
La princesse à l'allure de rainette était totalement effondrée !
Il est bien connu que les sorcieres changent les princes en crapauds,
mais on n'a jamais entendu parler d'une princesse de la sorte mutée.
Les contes sont tellement sexistes, vraiment c'est idiot !
Qu'une jeune fille embrasse un crapaud esperant le voir muer,
était chose acquise, et personne ne trouverait à redire.
Mais quel serait l'homme assez cretin pour une grenouille embrasser ?
Sauf à tomber sur un toxico défoncé au LSD en plein delire !
Ah ben, c'est normal, je suis en train de l'inventer !
Il était donc une fois, une princesse pleine de curiosité,
mais à trop s'aventurer par monts et par vaux, un jour, elle se trouva nouille !
En effet arrivée dans une clairière eloignée,
elle se retrouva brusquement nez à nez,
avec une sorciere fort mal embouchée,
qui presque aussitôt en grenouille a la princesse transformé !
La princesse à l'allure de rainette était totalement effondrée !
Il est bien connu que les sorcieres changent les princes en crapauds,
mais on n'a jamais entendu parler d'une princesse de la sorte mutée.
Les contes sont tellement sexistes, vraiment c'est idiot !
Qu'une jeune fille embrasse un crapaud esperant le voir muer,
était chose acquise, et personne ne trouverait à redire.
Mais quel serait l'homme assez cretin pour une grenouille embrasser ?
Sauf à tomber sur un toxico défoncé au LSD en plein delire !
mercredi 29 août 2007
Le Nain
Le nain se trouva fort depourvu,
quand devant l'urinoir, il fut parvenu.
Comment se soulager,
sans trop s'eclabousser ?
L'appareil en main, notre nain,
tentait de se hisser, bien haut pour viser.
Malheureusement, en desequilibre, c'est certain,
il n'est pas du tout commode de pisser !
Le bout n'arrivait même pas à suffisante hauteur.
Mais peut-être qu'avec la pression d'une pleine vessie,
arriverait-il, enfin, à ce simple desir : faire pipi !
Hesitant, reflechissant, il voyait tourner l'heure.
D'autant plus que la pressente envie,
ne lui laissait aucun répit !
"Mais pauvre de moi, quel dépit,
d'être né si petit !
Et bien, ma foi, tant pis !
Personne ne saura que j'ai tout sali !"
Sans trop se concentrer pour viser,
le nain commence à uriner,
d'une quantité non négligeable,
sa vessie étant de taille respectable.
Cela est parfois un plaisir bien grand !
Le nain béat de soulagement,
ne vit aucunement,
la dame-pipi entrant !!!
Il arrosait copieusement le mur,
ainsi que ses chaussures.
Dans un cri outré,
la dame-pipi, en colère,
mit un grand coup de pied,
au petit derriere !
Notre nain, honteux et confus,
jura, mais un peu tard,
qu'on ne l'y prendrait plus,
la prochaine fois, il pissera dans la rue !!!!
.......
Je vous ai un jour raconté l'histoire triste du nain,
qui voulait faire pipi dans un urinoir placé trop haut pour lui !
Et bien ce nain, je l'ai rencontré encore aujourd'hui,
il m'a expliqué comment il tentait de séduire en vain !
Notre nain, étant, en dehors de sa petite taille,
un homme normalement constitué,
souhaitait séduire sa belle et la prendre par la taille,
il avait découvert celle dont son cœur s'était amouraché !
Il la voyait chaque jour passer devant sa fenêtre.
Elle marchait d'un pas leger et sautillant,
sa jupe légère caressant ses jambes et embrassant sa croupe delicatement !
Le nain la guettait inlassablement, il l'a desirait de tout son être !
Chaque jour, son coeur cognait dans sa poitrine,
son souffle se faisait court et haletant,
fébrile, il sentait vibrer son échine
Rêvait d'étreindre enfin la cause de son tourment.
Il esquissait de rocambolesques scènes
où elle lui murmurait qu'elle voulait être sienne,
où il l'embrassait avec une folle ardeur,
et où elle y repondait avec autant de fureur.
N'y tenant plus, il decida de regrouper tout son courage,
et de se dévoiler entièrement à la belle.
Faire prendre à ce rêve, enfin la couleur du réel,
il etait plus que temps d'écrire cette page !
Le nain, rasé de près, avait fait des efforts de mise.
Il avançait tout tremblant dans la rue
à la rencontre de sa merveilleuse inconnue,
prêt à se contenter pour cette premiere fois, d'une simple bise !
La belle apparut, le nain perdant tout sang froid brutalement
se precipita vers elle et réalisa avec horreur et delice,
que son nez arrivait juste à l'endroit où se rejoignaient les douces cuisses !
C'en etait trop, le nain muet fut pris de spasmes et se répandit longuement !
Le nain, honteux et confus,
jura mais un peu tard,
qu'on ne l'y prendrait plus !
...
Banco ça banque illico !
Fort de cet excellent slogan, le nain joua au loto,
Afin de bien garnir son portefeuille en cuir vieilli,
en esperant ainsi, aussi, pouvoir garnir son lit !
Il se rendit donc par un matin ensoleillé,
au bureau de tabac du coin, pour jouer !
Hissé sur la pointe des pieds, agrippé,
il prit l'air degagé et acheta tout, grilles et jeux à gratter !
Et notre nain, gagna ! Pas le pactole, certes,
mais une somme tout à fait substantielle,
de quoi, dans son esprit, lui ouvrir le ciel,
au moins le septieme, ce qui lui semblait fort correct !
Le nain, peu rodé aux choses de l'amour,
pensait, aux dires de certains, que les filles allaient tomber comme des mouches !
En terrasse un coussin sous les fesses, jetant des regards concupiscents alentour,
attendant qu'une premiere pretendante vienne lui manger la bouche.
La liasse de billets ostensiblement apparente,
il passa son apres midi à descendre des bieres,
l'alcool aidant, se sentant de plus en plus fier,
tellement desinhibé, il fini par declarer à sa voisine qu'elle était bandante !
Le nain se prit une claque magistrale,
avec la marque des doigts sur sa joue imprimée !
Du coup il fut brutalement dessaoulé,
et penaud rentra chez lui triste et pâle.
Il n'est malin notre mâle nain !
....
Notre nain decida, que peut être, à la faveur de la nuit,
son charme opérerait de maniere plus aboutie.
Ne sachant trop par où commencer, il se renseigna,
sur les boites de nuit où il pourrait danser la salsa !
Longuement devant un DVD, il s'etait entrainé
seul avec son oreillé pour obtenir un avantageux dehanché !
Lorsqu'il fut satisfait du resultat obtenu, se sentant l'âme d'un warrior,
il envivagea de passer à la pratique et d'enflammer le dance-floor !
Il avait investi dans un costume seyant qui puisse l'avantager,
sur une chemise largement ouverte, estimant le look plus latino.
Serrant son porteuille comme une amulette, il se sentait enfin paré,
fin près à passer aux techniques de séduction fatale, bref à se mettre au boulot !
Il entra nonchalamant dans ce qu'il estimait être une vaste chasse,
et prenait des airs d'Al Pacino dans Scarface, y'a pas à dire, il avait la classe ! ( )
Il commanda une bouteille de whisky au bar, d'entrée de jeu !
Oui, c'est du whisky qu'on boit dans les films, avant la rafale de coup de feu !
Pour se donner un peu plus de courage, il bu 3 verres,
mais se garda bien de trop abuser, pour eviter le precedent revers !
Il observait avec un intérêt difficilement caché,
les jolies femmes qui étaient en train de danser.
Une pulpeuse brune vint s'assoire non loin de lui.
Le moment etait venu, elle serait à lui, dès cette nuit !
Il pretexta qu'elle avait tres certainement besoin de se réhydrater,
pour lui proposer, d'en sa compagnie, accepter de se désaltérer.
La jolie brune accepta, le nain, de peu, l'apoplexie manqua.
Il lui fit la conversation, s'inventant d'internationales responsabilités,
tandis que la demoiselle souriait doucement et se contentait de la tête hocher.
Dodelinant de la tête, elle semblait veritablement s'intéresser à ce qu'il lui contait là.
Le nain se concentrait, apres tant d'années d'abstinence,
sur l'histoire qu'il inventait afin de ne surtout pas se planter,
et d'eviter d'oublier de s'en tenir à un minimum de bienséance,
et de la violer là tout de suite sur le canapé !
Pour se changer un peu les idées, le nain proposa de danser.
La jeune femme ne se fit pas prier et lui prit la main doucement.
Le nain se sentait pousser des ailes, il entrevoyait fremissant le doux denouement.
Se collant contre le petit corps tendu, la feline ondoyait de maniere rythmée.
C'etait extatique, notre nain avait le sentiment de vivre enfin.
Cette danse le rendait fou de joie et de plaisir melés,
tant et si bien qu'il ne sentit pas la main le delester,
de son portefeuille dont il avait sciemment fait le plein !
Bien sûr la belle partie se repoudrer le nez la danse terminée,
et le nain eut beau chercher longtemps sa belle,
puis le portefeuille, l'un et l'autre s'etaient évaporés.
Notre pauvre nain, se prend des rateaux à la pelle !!!
quand devant l'urinoir, il fut parvenu.
Comment se soulager,
sans trop s'eclabousser ?
L'appareil en main, notre nain,
tentait de se hisser, bien haut pour viser.
Malheureusement, en desequilibre, c'est certain,
il n'est pas du tout commode de pisser !
Le bout n'arrivait même pas à suffisante hauteur.
Mais peut-être qu'avec la pression d'une pleine vessie,
arriverait-il, enfin, à ce simple desir : faire pipi !
Hesitant, reflechissant, il voyait tourner l'heure.
D'autant plus que la pressente envie,
ne lui laissait aucun répit !
"Mais pauvre de moi, quel dépit,
d'être né si petit !
Et bien, ma foi, tant pis !
Personne ne saura que j'ai tout sali !"
Sans trop se concentrer pour viser,
le nain commence à uriner,
d'une quantité non négligeable,
sa vessie étant de taille respectable.
Cela est parfois un plaisir bien grand !
Le nain béat de soulagement,
ne vit aucunement,
la dame-pipi entrant !!!
Il arrosait copieusement le mur,
ainsi que ses chaussures.
Dans un cri outré,
la dame-pipi, en colère,
mit un grand coup de pied,
au petit derriere !
Notre nain, honteux et confus,
jura, mais un peu tard,
qu'on ne l'y prendrait plus,
la prochaine fois, il pissera dans la rue !!!!
.......
Je vous ai un jour raconté l'histoire triste du nain,
qui voulait faire pipi dans un urinoir placé trop haut pour lui !
Et bien ce nain, je l'ai rencontré encore aujourd'hui,
il m'a expliqué comment il tentait de séduire en vain !
Notre nain, étant, en dehors de sa petite taille,
un homme normalement constitué,
souhaitait séduire sa belle et la prendre par la taille,
il avait découvert celle dont son cœur s'était amouraché !
Il la voyait chaque jour passer devant sa fenêtre.
Elle marchait d'un pas leger et sautillant,
sa jupe légère caressant ses jambes et embrassant sa croupe delicatement !
Le nain la guettait inlassablement, il l'a desirait de tout son être !
Chaque jour, son coeur cognait dans sa poitrine,
son souffle se faisait court et haletant,
fébrile, il sentait vibrer son échine
Rêvait d'étreindre enfin la cause de son tourment.
Il esquissait de rocambolesques scènes
où elle lui murmurait qu'elle voulait être sienne,
où il l'embrassait avec une folle ardeur,
et où elle y repondait avec autant de fureur.
N'y tenant plus, il decida de regrouper tout son courage,
et de se dévoiler entièrement à la belle.
Faire prendre à ce rêve, enfin la couleur du réel,
il etait plus que temps d'écrire cette page !
Le nain, rasé de près, avait fait des efforts de mise.
Il avançait tout tremblant dans la rue
à la rencontre de sa merveilleuse inconnue,
prêt à se contenter pour cette premiere fois, d'une simple bise !
La belle apparut, le nain perdant tout sang froid brutalement
se precipita vers elle et réalisa avec horreur et delice,
que son nez arrivait juste à l'endroit où se rejoignaient les douces cuisses !
C'en etait trop, le nain muet fut pris de spasmes et se répandit longuement !
Le nain, honteux et confus,
jura mais un peu tard,
qu'on ne l'y prendrait plus !
...
Banco ça banque illico !
Fort de cet excellent slogan, le nain joua au loto,
Afin de bien garnir son portefeuille en cuir vieilli,
en esperant ainsi, aussi, pouvoir garnir son lit !
Il se rendit donc par un matin ensoleillé,
au bureau de tabac du coin, pour jouer !
Hissé sur la pointe des pieds, agrippé,
il prit l'air degagé et acheta tout, grilles et jeux à gratter !
Et notre nain, gagna ! Pas le pactole, certes,
mais une somme tout à fait substantielle,
de quoi, dans son esprit, lui ouvrir le ciel,
au moins le septieme, ce qui lui semblait fort correct !
Le nain, peu rodé aux choses de l'amour,
pensait, aux dires de certains, que les filles allaient tomber comme des mouches !
En terrasse un coussin sous les fesses, jetant des regards concupiscents alentour,
attendant qu'une premiere pretendante vienne lui manger la bouche.
La liasse de billets ostensiblement apparente,
il passa son apres midi à descendre des bieres,
l'alcool aidant, se sentant de plus en plus fier,
tellement desinhibé, il fini par declarer à sa voisine qu'elle était bandante !
Le nain se prit une claque magistrale,
avec la marque des doigts sur sa joue imprimée !
Du coup il fut brutalement dessaoulé,
et penaud rentra chez lui triste et pâle.
Il n'est malin notre mâle nain !
....
Notre nain decida, que peut être, à la faveur de la nuit,
son charme opérerait de maniere plus aboutie.
Ne sachant trop par où commencer, il se renseigna,
sur les boites de nuit où il pourrait danser la salsa !
Longuement devant un DVD, il s'etait entrainé
seul avec son oreillé pour obtenir un avantageux dehanché !
Lorsqu'il fut satisfait du resultat obtenu, se sentant l'âme d'un warrior,
il envivagea de passer à la pratique et d'enflammer le dance-floor !
Il avait investi dans un costume seyant qui puisse l'avantager,
sur une chemise largement ouverte, estimant le look plus latino.
Serrant son porteuille comme une amulette, il se sentait enfin paré,
fin près à passer aux techniques de séduction fatale, bref à se mettre au boulot !
Il entra nonchalamant dans ce qu'il estimait être une vaste chasse,
et prenait des airs d'Al Pacino dans Scarface, y'a pas à dire, il avait la classe ! ( )
Il commanda une bouteille de whisky au bar, d'entrée de jeu !
Oui, c'est du whisky qu'on boit dans les films, avant la rafale de coup de feu !
Pour se donner un peu plus de courage, il bu 3 verres,
mais se garda bien de trop abuser, pour eviter le precedent revers !
Il observait avec un intérêt difficilement caché,
les jolies femmes qui étaient en train de danser.
Une pulpeuse brune vint s'assoire non loin de lui.
Le moment etait venu, elle serait à lui, dès cette nuit !
Il pretexta qu'elle avait tres certainement besoin de se réhydrater,
pour lui proposer, d'en sa compagnie, accepter de se désaltérer.
La jolie brune accepta, le nain, de peu, l'apoplexie manqua.
Il lui fit la conversation, s'inventant d'internationales responsabilités,
tandis que la demoiselle souriait doucement et se contentait de la tête hocher.
Dodelinant de la tête, elle semblait veritablement s'intéresser à ce qu'il lui contait là.
Le nain se concentrait, apres tant d'années d'abstinence,
sur l'histoire qu'il inventait afin de ne surtout pas se planter,
et d'eviter d'oublier de s'en tenir à un minimum de bienséance,
et de la violer là tout de suite sur le canapé !
Pour se changer un peu les idées, le nain proposa de danser.
La jeune femme ne se fit pas prier et lui prit la main doucement.
Le nain se sentait pousser des ailes, il entrevoyait fremissant le doux denouement.
Se collant contre le petit corps tendu, la feline ondoyait de maniere rythmée.
C'etait extatique, notre nain avait le sentiment de vivre enfin.
Cette danse le rendait fou de joie et de plaisir melés,
tant et si bien qu'il ne sentit pas la main le delester,
de son portefeuille dont il avait sciemment fait le plein !
Bien sûr la belle partie se repoudrer le nez la danse terminée,
et le nain eut beau chercher longtemps sa belle,
puis le portefeuille, l'un et l'autre s'etaient évaporés.
Notre pauvre nain, se prend des rateaux à la pelle !!!
mardi 21 août 2007
Inspiration
Ah la la, l'inspiration est une fille capricieuse,
elle va et vient à sa guise, une vraie chieuse !
Une vraie fille quoi, qui n'en fait qu'à sa tête,
selon les heures, se fait langoureuse ou s'entête !
Un jour elle se laisse seduire par la douceur,
du temps, des choses et des heures...
Le lendemain elle se fait joueuse, preferant,
s'attarder dans les bois à ramasser des glands.
Parfois elle râle aussi, hurle, gifle et crie,
envoyant tout balader sur son passage,
lorsqu'elle se complait à magnifier la rage,
pour en tirer une lame meurtrière ou meurtrie.
Et puis encore, il arrive qu'elle disparaisse,
une heure, un jour, une vie,
en des lieux inconnus, sans laisser d'adresse,
l'inspiration somnole ou s'enfuit.
Et c'est bien souvent alors qu'on ne l'attend pas,
qu'elle choisit de s'imposer à nos bras,
distillant à son choix tristesse, liesse,
tendresse, et l'on renaît à ses caresses.
elle va et vient à sa guise, une vraie chieuse !
Une vraie fille quoi, qui n'en fait qu'à sa tête,
selon les heures, se fait langoureuse ou s'entête !
Un jour elle se laisse seduire par la douceur,
du temps, des choses et des heures...
Le lendemain elle se fait joueuse, preferant,
s'attarder dans les bois à ramasser des glands.
Parfois elle râle aussi, hurle, gifle et crie,
envoyant tout balader sur son passage,
lorsqu'elle se complait à magnifier la rage,
pour en tirer une lame meurtrière ou meurtrie.
Et puis encore, il arrive qu'elle disparaisse,
une heure, un jour, une vie,
en des lieux inconnus, sans laisser d'adresse,
l'inspiration somnole ou s'enfuit.
Et c'est bien souvent alors qu'on ne l'attend pas,
qu'elle choisit de s'imposer à nos bras,
distillant à son choix tristesse, liesse,
tendresse, et l'on renaît à ses caresses.
Voilà, je suis en nage,
en âge de nager dans le potage,
bien que n'ayant sauté aucune page.
Quel curieux equipage,
appreciant le paysage,
un à un grimpant les etages
qui menent à la plage
horaire des sages !
Mais de quels sages,
avez vous reçu heritage ?
On m'a oublié dans le partage !
Ne restent que les images.
en âge de nager dans le potage,
bien que n'ayant sauté aucune page.
Quel curieux equipage,
appreciant le paysage,
un à un grimpant les etages
qui menent à la plage
horaire des sages !
Mais de quels sages,
avez vous reçu heritage ?
On m'a oublié dans le partage !
Ne restent que les images.
vendredi 17 août 2007
Le Korrigan
J'ai rencontré un korrigan caché dans une souche de chêne !
Je me promenais tranquillement quand sur son curieux chapeau,
mon oeil interpellé s'est arrêté, j'ai eu un peu peur, il n'etait pas beau !
Son regard luisant brillait d'une etrange lueure mâtinée de peine !
Nous avons un peu converser, une fois ma stupeur passée,
il s'etait en fait perdu, apres une soirée trop arrosée,
et il n'osait quitter cette souche avant que la nuit ne vienne !
Il avait trop peur de se faire reperer sur le chemin de sa fontaine !
Dans mon sac, sous la serviette de plage je l'ai donc caché,
au fur et à mesure, le chemin de sa fontaine il m'a indiqué !
Une fois arrivés, nous avons plaisanté, je lui ai fait promettre,
de ne pas recommencer à trop abuser des alcools traitres !
Le petit korrigan, pour me remercier m'a proposé de réaliser,
un de mes voeux, mais de le choisir avec soin,
afin de ne pas jouer à Midas, et d'un voeu me pieger !
Je reflechie depuis, dans ma tête tourne, la question en tous sens, en tous coins.
Je devrais peut-être ouvrir un topic, pour demander,
quelles seraient les recommandations de bt ?
Me voici toute embêtée avec ce voeu que je ne veux pas gâcher !
Je me demande si je ne vais pas abandonner mon voeu et esperer,
que le destin se charge de lui-même, de sur mes rêves veiller !
Je me promenais tranquillement quand sur son curieux chapeau,
mon oeil interpellé s'est arrêté, j'ai eu un peu peur, il n'etait pas beau !
Son regard luisant brillait d'une etrange lueure mâtinée de peine !
Nous avons un peu converser, une fois ma stupeur passée,
il s'etait en fait perdu, apres une soirée trop arrosée,
et il n'osait quitter cette souche avant que la nuit ne vienne !
Il avait trop peur de se faire reperer sur le chemin de sa fontaine !
Dans mon sac, sous la serviette de plage je l'ai donc caché,
au fur et à mesure, le chemin de sa fontaine il m'a indiqué !
Une fois arrivés, nous avons plaisanté, je lui ai fait promettre,
de ne pas recommencer à trop abuser des alcools traitres !
Le petit korrigan, pour me remercier m'a proposé de réaliser,
un de mes voeux, mais de le choisir avec soin,
afin de ne pas jouer à Midas, et d'un voeu me pieger !
Je reflechie depuis, dans ma tête tourne, la question en tous sens, en tous coins.
Je devrais peut-être ouvrir un topic, pour demander,
quelles seraient les recommandations de bt ?
Me voici toute embêtée avec ce voeu que je ne veux pas gâcher !
Je me demande si je ne vais pas abandonner mon voeu et esperer,
que le destin se charge de lui-même, de sur mes rêves veiller !
dimanche 12 août 2007
Les réalités febriles vont et viennent, imbéciles,
laissant trop peu de place à l'onirisme fertile,
pourtant avec la naïvté d'un enfant, j'aime à me bercer,
d'illusions et de rêves, et si parfois la lucidité reveillée,
vient me tirer du rêve, c'est avec délectation que je plonge,
et volontairement choisis de me noyer dans un songe !
Songeons donc, et dictons, la couleur à nos rêves,
puisqu'ils ne sont dans nos vies qu'une trêve,
une oasis verdoyante, dans un desert trop rempli,
de réalités en rêves j'oscille, vais et viens, et m'emplis !
laissant trop peu de place à l'onirisme fertile,
pourtant avec la naïvté d'un enfant, j'aime à me bercer,
d'illusions et de rêves, et si parfois la lucidité reveillée,
vient me tirer du rêve, c'est avec délectation que je plonge,
et volontairement choisis de me noyer dans un songe !
Songeons donc, et dictons, la couleur à nos rêves,
puisqu'ils ne sont dans nos vies qu'une trêve,
une oasis verdoyante, dans un desert trop rempli,
de réalités en rêves j'oscille, vais et viens, et m'emplis !
Reflexion du mois d'aout !
Faible fable affabulant,
in fabula dans ma bulle,
où le fallacieux fabuleusement,
defibrille et infibule,
la foi aux dons funambules,
d'une aberrante somnambule ?
in fabula dans ma bulle,
où le fallacieux fabuleusement,
defibrille et infibule,
la foi aux dons funambules,
d'une aberrante somnambule ?
Sans titre encore :
Fablez fabliaux, chantez les louanges aux dames,
si elles vous toisent, interieurement se pâment,
et de jolis mots à elles déstinés, font toujours vibrer leur âme,
Que vos affables fables ecrites sur un coin de table, nous enflamment,
ne cessez, s'il vous plait, d'ainsi encencer nos charmes !
Que vos affables fables ecrites sur un coin de table, nous enflamment,
pour que sur ce coin de table, tout contre vous l'on se pâme
De vos affables fables l'on s'enflamme,
et sur ce coin de table l'on se damne !
si elles vous toisent, interieurement se pâment,
et de jolis mots à elles déstinés, font toujours vibrer leur âme,
Que vos affables fables ecrites sur un coin de table, nous enflamment,
ne cessez, s'il vous plait, d'ainsi encencer nos charmes !
Que vos affables fables ecrites sur un coin de table, nous enflamment,
pour que sur ce coin de table, tout contre vous l'on se pâme
De vos affables fables l'on s'enflamme,
et sur ce coin de table l'on se damne !
mercredi 18 juillet 2007
Plante verte
En parlant de plante verte, j'en ai rencontré de charmantes,
tout à fait ravissantes, bien que neuronalement fort lentes !
Loin de moi l'idée de critiquer, d'autant que cela est fort fascinant,
cette capacité d'attraction qu'ont certains sourires lancinants !
Il y a bien sur les potiches godiches,
mais il serait trop long d'etablir une fiche.
Je m'interroge sur la famille de plante verte à laquelle j'appartiens ?
Je suis bien trop bavarde pour être potiche, même de Gien !
Godiche, c'est fort possible, mes connexions neuronales,
de rapidités variables, parfois, sont affreusement bancales !
De plus, je sais sourire avec la plus grande stupidité qui soit,
quand il s'agit de faire l'aimable devant un repas crétois.
S'il ne s'agissait que d'être là pour le decor,
peut être y arriverais-je encore !
Mais la plante verte se doit d'être Feng shui,
une atmosphere doit être rafraichie !
A bien y reflechir, je m'aperçois, qu'être une bonne plante verte,
est plus ardu que l'on ne croit, si l'on ne veut courrir à sa perte !
Je vais bien m'entrainer, je vous le promet !
Dès demain, serieusement, je m'y mets !
tout à fait ravissantes, bien que neuronalement fort lentes !
Loin de moi l'idée de critiquer, d'autant que cela est fort fascinant,
cette capacité d'attraction qu'ont certains sourires lancinants !
Il y a bien sur les potiches godiches,
mais il serait trop long d'etablir une fiche.
Je m'interroge sur la famille de plante verte à laquelle j'appartiens ?
Je suis bien trop bavarde pour être potiche, même de Gien !
Godiche, c'est fort possible, mes connexions neuronales,
de rapidités variables, parfois, sont affreusement bancales !
De plus, je sais sourire avec la plus grande stupidité qui soit,
quand il s'agit de faire l'aimable devant un repas crétois.
S'il ne s'agissait que d'être là pour le decor,
peut être y arriverais-je encore !
Mais la plante verte se doit d'être Feng shui,
une atmosphere doit être rafraichie !
A bien y reflechir, je m'aperçois, qu'être une bonne plante verte,
est plus ardu que l'on ne croit, si l'on ne veut courrir à sa perte !
Je vais bien m'entrainer, je vous le promet !
Dès demain, serieusement, je m'y mets !
lundi 16 juillet 2007
La grenouille cruche
Une grenouille vit un boeuf
Qui lui sembla de belle taille.
Elle, qui avait ce jour là, mit ses habits neufs,
Décide, coquine, de séduire sur son lieu de travail.
Pour éveiller la curiosité de l'animal
Elle se trémousse et prend des poses lascives
Et rit très bêtement à tout ce que dit le Mâle,
A gorge déployée, montrant ses incisives !
Elle scrutait les réactions du garçon,
Mais craignait, de ne s'y prendre de la bonne façon.
Celui-ci en effet, la prenait pour une cruche fêlée,
Et c'est vrai que ce triste tableau faisait vraiment pitié !
Ayant suffisamment jouit de ce piteux spectacle,
L'homme mit un terme à l'entretien,
La rembarrant méchamment pire qu'un chien !
Notre grenouille pleura à chaudes larmes sa débacle,
Toute surprise que sa mise étudiée,
N'eut pas suffit, pour cet homme s'approprier !
Qui lui sembla de belle taille.
Elle, qui avait ce jour là, mit ses habits neufs,
Décide, coquine, de séduire sur son lieu de travail.
Pour éveiller la curiosité de l'animal
Elle se trémousse et prend des poses lascives
Et rit très bêtement à tout ce que dit le Mâle,
A gorge déployée, montrant ses incisives !
Elle scrutait les réactions du garçon,
Mais craignait, de ne s'y prendre de la bonne façon.
Celui-ci en effet, la prenait pour une cruche fêlée,
Et c'est vrai que ce triste tableau faisait vraiment pitié !
Ayant suffisamment jouit de ce piteux spectacle,
L'homme mit un terme à l'entretien,
La rembarrant méchamment pire qu'un chien !
Notre grenouille pleura à chaudes larmes sa débacle,
Toute surprise que sa mise étudiée,
N'eut pas suffit, pour cet homme s'approprier !
samedi 14 juillet 2007
Rimes en ique !
On m'a proposé de versifier en ique
Qui ne soit pas nique ?
Peut-être vieille bique ?
Ou espece de bourrique,
tu as encore vider la barrique !!!
Certes, c'est peu bucolique,
toutefois, cela demeure mieux que cadaverique !
Mais brusquement, une idée m'assaille,et si c'etait erotique ?
Cela prendrait une tournure fantastique !
Je dirais même fantasmagorique !
Oublions un instant la logique,
inventons un jeu prolifique,
dans lequel la rime en ique,
deviendrait la seule et unique,
entêtante à sembler diabolique !
Ce jeu délicieux devient hypnotique,
et je le trouve fort ludique.
Et je reviens toujours aux iques !!!
Ils me bercent ainsi qu'une musique !
Je n'imaginais pas que cela puisse être si féerique,
de s'ennivrer dans ce monde onirique !
Je suis totalement conquise par l'effet magique,
que produit sur moi la rime en ique !
Ce son que je croyais critique,
finalement, me rend toute electrique !
Qui ne soit pas nique ?
Peut-être vieille bique ?
Ou espece de bourrique,
tu as encore vider la barrique !!!
Certes, c'est peu bucolique,
toutefois, cela demeure mieux que cadaverique !
Mais brusquement, une idée m'assaille,et si c'etait erotique ?
Cela prendrait une tournure fantastique !
Je dirais même fantasmagorique !
Oublions un instant la logique,
inventons un jeu prolifique,
dans lequel la rime en ique,
deviendrait la seule et unique,
entêtante à sembler diabolique !
Ce jeu délicieux devient hypnotique,
et je le trouve fort ludique.
Et je reviens toujours aux iques !!!
Ils me bercent ainsi qu'une musique !
Je n'imaginais pas que cela puisse être si féerique,
de s'ennivrer dans ce monde onirique !
Je suis totalement conquise par l'effet magique,
que produit sur moi la rime en ique !
Ce son que je croyais critique,
finalement, me rend toute electrique !
vendredi 13 juillet 2007
jeudi 12 juillet 2007
Bientôt les vacances
J'attends mes vacances avec impatience !
Envie de paresse et d'indolence !
Je tiens debout malgré une fatigue intense,
par habitude de mettre mes nerfs en transe.
Allons, pas d'inquietude,
je sens poindre le prelude,
bientôt, je pourrai paresser,
au moins la moitié de la journée.
Passer ses journées à se prelasser,
faire semblant de lire mais somnoler.
Au soleil, de mon corps faire l'offrande,
prendre le temps d'humer les parfums de la lande.
Envie de paresse et d'indolence !
Je tiens debout malgré une fatigue intense,
par habitude de mettre mes nerfs en transe.
Allons, pas d'inquietude,
je sens poindre le prelude,
bientôt, je pourrai paresser,
au moins la moitié de la journée.
Passer ses journées à se prelasser,
faire semblant de lire mais somnoler.
Au soleil, de mon corps faire l'offrande,
prendre le temps d'humer les parfums de la lande.
vendredi 22 juin 2007
dimanche 17 juin 2007
Toujours trop gourmande !
Mignonne allons voir si le pot de Nutella,
qui ce matin etait clos d'un opercule,
contient encore quelque grammes minuscules,
de ce nectar aux noisettes, goût chocolat.
Pour ne pas me charger, j'ai abandonné le pain,
à la cuillère, je me livre sans fin et sans faim,
à un gavage calorique, bien vite, avant que la nausée,
ne vienne, finalement, ce festin abréger !
A force de chercher au fond du flacon,
je m'en suis mise plein les doigts !
Par devers moi, je devrais me faire la leçon,
à present, je me sens le foie d'une oie !!!
qui ce matin etait clos d'un opercule,
contient encore quelque grammes minuscules,
de ce nectar aux noisettes, goût chocolat.
Pour ne pas me charger, j'ai abandonné le pain,
à la cuillère, je me livre sans fin et sans faim,
à un gavage calorique, bien vite, avant que la nausée,
ne vienne, finalement, ce festin abréger !
A force de chercher au fond du flacon,
je m'en suis mise plein les doigts !
Par devers moi, je devrais me faire la leçon,
à present, je me sens le foie d'une oie !!!
vendredi 8 juin 2007
Comment appeller ça ?
Absolument rien à faire ! Impossible d'ôter cette pomme indelebile de mon front, j'ai deplumé le verre de biere, ecorché le colobri, ramé jusqu'à l'aube, mais elle continue de clignoter comme un tronc d'arbre !
Le desincrustant de l'histoire, c'est qu'elle faisait l'amour avec son paillasson de jardin !
Et quoi que vous en pensiez, les apericubes sont bien meilleurs avec du beurre à la condition qu'ils soient bien epilés !
Le desincrustant de l'histoire, c'est qu'elle faisait l'amour avec son paillasson de jardin !
Et quoi que vous en pensiez, les apericubes sont bien meilleurs avec du beurre à la condition qu'ils soient bien epilés !
vendredi 1 juin 2007
Grrrrr !
allez, c'est decidé !
un coup de gueule à la BB !
Je viens de voir un reportage sur les ferias
où l'on comparait l'art de passer à trepas !
"ah celui-ci meurt bravement,
celui-là meurt peniblement"
Et si je t'arrache les c..... !
T'es cap de pas dire ouille ?
un coup de gueule à la BB !
Je viens de voir un reportage sur les ferias
où l'on comparait l'art de passer à trepas !
"ah celui-ci meurt bravement,
celui-là meurt peniblement"
Et si je t'arrache les c..... !
T'es cap de pas dire ouille ?
mardi 29 mai 2007
Tentation !
Aaarf ! J'ai craqué,
de faire quelques courses, j'avais besoin !
presque rien, quelques fruits, tout au moins,
quel manque de volonté !
oui, j'ai craqué !
la simple course, j'ai prolongée,
d'une saine intention de laitage,
et, là, au detour d'un rayonnage,
je me suis sentie envahie par un desir,
brusque, irrepressible, incontrolé, intense,
il me fallait aussitôt l'assouvir,
un moment d'egarement je pense ?!
oui, j'ai cedé
dans la gourmandise je me suis vautrée !
et là, avec quelques fraises, pour le gouter
la bombe de chantilly est quasi terminée !
de faire quelques courses, j'avais besoin !
presque rien, quelques fruits, tout au moins,
quel manque de volonté !
oui, j'ai craqué !
la simple course, j'ai prolongée,
d'une saine intention de laitage,
et, là, au detour d'un rayonnage,
je me suis sentie envahie par un desir,
brusque, irrepressible, incontrolé, intense,
il me fallait aussitôt l'assouvir,
un moment d'egarement je pense ?!
oui, j'ai cedé
dans la gourmandise je me suis vautrée !
et là, avec quelques fraises, pour le gouter
la bombe de chantilly est quasi terminée !
Rien du tout !
jeudi 24 mai 2007
Sans titre 2
D'abord cette chaleur qui me prend,
S'engouffre, s'insinue, s'etend,
Indiscible lame de fond,
D'où jaillit le frisson.
Elle monte sans fin, insatiable faim,
Sombre et claire, indéfinie,
Je touche du doigt l'infini,
Navigue de mon ventre à mes seins.
Pulpeuse, langoureuse, violente,
Toute à la fois soumise et pressante,
Te supplie, te contrains,
En mon corps t'etreins.
Oscillations, vibrations,
Partition pour percussions,
Fais moi l'amour encore, encore, et encore,
Fais moi jaillir hors de mon corps.
Embrasse moi,
Terrasse moi.
Aime moi, je t'aime.
S'engouffre, s'insinue, s'etend,
Indiscible lame de fond,
D'où jaillit le frisson.
Elle monte sans fin, insatiable faim,
Sombre et claire, indéfinie,
Je touche du doigt l'infini,
Navigue de mon ventre à mes seins.
Pulpeuse, langoureuse, violente,
Toute à la fois soumise et pressante,
Te supplie, te contrains,
En mon corps t'etreins.
Oscillations, vibrations,
Partition pour percussions,
Fais moi l'amour encore, encore, et encore,
Fais moi jaillir hors de mon corps.
Embrasse moi,
Terrasse moi.
Aime moi, je t'aime.
mardi 22 mai 2007
Petit conte à dormir eveillé !
C'est l'histoire d'une jeune fille pas princesse, qui revait d'un charmant pas forcement prince ! Bercée des contes de son enfance, elle errait pres des mares et des ruisseaux calmes, à la recherche d'un crapaud charmant !
Mais elle se questionnait ? Est-ce que seules les princesses peuvent transformer un crapaud en prince ?
Faut-il que le crapaud soit prince pour se muer en homme charmant ? Pourquoi un homme charmant se retrouvait-il dans la peau d'un crapaud ? Un prince peut-il aimer une fille pas princesse ?
Bref les questions se bousculaient dans sa tête alors qu'elle marchait avec precaution pour ne pas malencontreusement marcher sur un prince endormis !
Elle croisait des rainettes guillerettes, mais hesitait à saisir dans ses mains un veritable crapaud !
Non pas que la sensation ne lui fasse peur ! Mais de peur d'effrayer inutilement un pauvre batracien placide qui n'avait jamais envisagé ne serait-ce qu'un instant de devenir un homme !
Quels pouvaient bien être les signes qui distinguent un crapaud possible homme, d'un batracien completement crapaud ?
Les contes ne donnent que les grandes lignes ! Il n'y a pas de manuel technique pour repondre à toutes ces interogations !
Un regard ? Un son, un chant particulier ? Une sorte d'appel ? Une certitude brusque, irraisonnée ?
Avec moult precautions, elle approchait un crapaud somnolant !
et murmurant :
-" Hé petit crapaud, es-tu prince ? Es tu charmant ? Es-tu un homme hideux mué en joli crapaud ? "
L'oeil du batracien s'ouvrit, surprit ! Le crapaud entrouvrit sa gueule, puis la referma ! La pupille sombre scrutait la jeune fille !
Le coeur battant à tout rompre, la jeune fille attendait un signe du destin ! Une lumiere, une aura fantastique !
Quelque chose bon sang, qui lui signifirait que c'etait un crapaud particulier, un crapaud qui lui serait destiné !
Rien !
Le crapaud ne fuyait ni ne l'embrassait ! Rien !
Seul son oeil remuait, et sa peau humide battait ! Parfois le crapaud deglutissait ! Il vivait ! Seule et maigre certitude face au rêve de la jeune fille !
Allait-elle oser un geste vers ce crapaud ? Le saisir ? L'embrasser ? Non ! Non, impossible que cela soit si simple ! On ne peut pas se poser tant de questions et que le denouement soit si brusque, intempestif, magique !
Et s'il se transformait en homme ?!
Serait-il necessairement fou amoureux d'elle du simple fait qu'elle l'ait sauvé de sa condition de batracien ? Faudrait-il qu'elle lui parle, qu'elle le seduise ?
Quoi ? Il faudrait donc se comporter avec lui comme avec un homme ? Un homme pas crapaud ? Un homme humain ?
Les contes ont du bon, de nous rappeler à la raison !!!
Mais elle se questionnait ? Est-ce que seules les princesses peuvent transformer un crapaud en prince ?
Faut-il que le crapaud soit prince pour se muer en homme charmant ? Pourquoi un homme charmant se retrouvait-il dans la peau d'un crapaud ? Un prince peut-il aimer une fille pas princesse ?
Bref les questions se bousculaient dans sa tête alors qu'elle marchait avec precaution pour ne pas malencontreusement marcher sur un prince endormis !
Elle croisait des rainettes guillerettes, mais hesitait à saisir dans ses mains un veritable crapaud !
Non pas que la sensation ne lui fasse peur ! Mais de peur d'effrayer inutilement un pauvre batracien placide qui n'avait jamais envisagé ne serait-ce qu'un instant de devenir un homme !
Quels pouvaient bien être les signes qui distinguent un crapaud possible homme, d'un batracien completement crapaud ?
Les contes ne donnent que les grandes lignes ! Il n'y a pas de manuel technique pour repondre à toutes ces interogations !
Un regard ? Un son, un chant particulier ? Une sorte d'appel ? Une certitude brusque, irraisonnée ?
Avec moult precautions, elle approchait un crapaud somnolant !
et murmurant :
-" Hé petit crapaud, es-tu prince ? Es tu charmant ? Es-tu un homme hideux mué en joli crapaud ? "
L'oeil du batracien s'ouvrit, surprit ! Le crapaud entrouvrit sa gueule, puis la referma ! La pupille sombre scrutait la jeune fille !
Le coeur battant à tout rompre, la jeune fille attendait un signe du destin ! Une lumiere, une aura fantastique !
Quelque chose bon sang, qui lui signifirait que c'etait un crapaud particulier, un crapaud qui lui serait destiné !
Rien !
Le crapaud ne fuyait ni ne l'embrassait ! Rien !
Seul son oeil remuait, et sa peau humide battait ! Parfois le crapaud deglutissait ! Il vivait ! Seule et maigre certitude face au rêve de la jeune fille !
Allait-elle oser un geste vers ce crapaud ? Le saisir ? L'embrasser ? Non ! Non, impossible que cela soit si simple ! On ne peut pas se poser tant de questions et que le denouement soit si brusque, intempestif, magique !
Et s'il se transformait en homme ?!
Serait-il necessairement fou amoureux d'elle du simple fait qu'elle l'ait sauvé de sa condition de batracien ? Faudrait-il qu'elle lui parle, qu'elle le seduise ?
Quoi ? Il faudrait donc se comporter avec lui comme avec un homme ? Un homme pas crapaud ? Un homme humain ?
Les contes ont du bon, de nous rappeler à la raison !!!
dimanche 20 mai 2007
Téléphone....
- Le numero que vous avez demandé n'est plus attribué...
- C'est une blague ? Comment ça plus attribué ?
- Le numero que vous avez demandé n'est plus attribué...
- Dis Madame, de moi tu es en train de te moquer ?
- Le numero que vous avez demandé n'est plus attribué...
- C'est impossible, ce numero, hier on me l'a donné !
- Le numero que vous avez demandé n'est plus attribué...
- Est-il possible que je l'ai mal noté ?
- Le numero que vous avez demandé n'est plus attribué...
- Vous m'en voyez fort contrariée !
- Le numero que vous avez demandé n'est plus attribué...
- Bon ça y est ? Tu vas te la fermer ???????
........................................................................
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
- Arf ! J'ai le bon numero ce coup-ci ! Déjà je suis contente !
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
- Bon OK ! Mais je ne suis pas tres patiente !
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
- Et tu fais comment au juste pour ecouter mon attente ?
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
- Tu me dis tout de suite, hein, s'il faut que je monte ma tente ?!
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
- Ma parole, c'est un complot ! Cette fille est accablante !
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
- C'est une blague ? Comment ça plus attribué ?
- Le numero que vous avez demandé n'est plus attribué...
- Dis Madame, de moi tu es en train de te moquer ?
- Le numero que vous avez demandé n'est plus attribué...
- C'est impossible, ce numero, hier on me l'a donné !
- Le numero que vous avez demandé n'est plus attribué...
- Est-il possible que je l'ai mal noté ?
- Le numero que vous avez demandé n'est plus attribué...
- Vous m'en voyez fort contrariée !
- Le numero que vous avez demandé n'est plus attribué...
- Bon ça y est ? Tu vas te la fermer ???????
........................................................................
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
- Arf ! J'ai le bon numero ce coup-ci ! Déjà je suis contente !
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
- Bon OK ! Mais je ne suis pas tres patiente !
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
- Et tu fais comment au juste pour ecouter mon attente ?
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
- Tu me dis tout de suite, hein, s'il faut que je monte ma tente ?!
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
- Ma parole, c'est un complot ! Cette fille est accablante !
- Votre correspondant est en ligne, nous nous efforçons d'ecourter votre attente...
mercredi 16 mai 2007
Reaction
est-ce le retour de la grisaille,
qui dans les esprits créé la faille ?
la hargne peut parfois être utile,
si elle ne ressemble à de la haine vile !
qui dans les esprits créé la faille ?
la hargne peut parfois être utile,
si elle ne ressemble à de la haine vile !
mardi 15 mai 2007
Histoire d'une momie !
J'ai inventé une Momie, il y a quelques mois, je vous raconte ici son histoire désordonnée :
Je viens prendre soin de la momie,
de crainte qu'elle ne s'ennuie.
mais c'est une momie farçeuse,
j'lai trouvé en train de jouer de la perçeuse.
elle n'en avait pas vraiment besoin,
c'etait juste pour embeter ses voisins.
elle pretend que ce sont des grincheux,
des gens etroits à l'esprit vieux.
pourtant je les ai vu ses voisins,
ce sont des gens vraiment tres biens
c'est juste qu'ils veulent pouvoir dormir
à l'heure où ma momie veut rire !
momie, il va te falloir être sage,
pour eviter les problemes de voisinnage
Un jour l'on apprend,
que de l'alcool faut être mefiant !
faut que j'explique ça à la momie,
elle veut plonger dans du formol !
j'ignore ce qui lui a pris,
je crois qu'elle est un peu folle.
Momie, veux tu sortir de là
un bain de formol,c'est pas une bonne idée !
tu as dejà été momifiée,
là ça fait bis repetita.
tu vas etre toute bourrée apres tu vas degueuler,
tu risques de salir tes bandelettes,
et de dormir sur la carpette.
ça y est elle a gerbé,
j'en etais sure, c'etait calculé,
cette momie c'est une vraie gamine,
et maintenant elle a bonne mine !
Aller momie, vas te coucher,
ta maman est fatiguée,
non tu n'iras pas danser,
trop crevée pour t'accompagner.
non tu n'iras pas seule
avec ta drole de gueule,
tu te f'rais draguer par des bizarres,
des mecs pas clairs, s'rait un lézard !
ils voudraient juste vivre un truc space
des hommes y'en a d'la pire espece,
apres tu risques de pleurer,
car on n'aura pas su t'aimer.
tu sais ma momie,
je t'aime bien moi aussi,
c'est pour ça que je veux te proteger
de tous ces mal intentionnés,
tu es etrange, tu as une drole d'image,
tu ne peux pas empecher que l'on te devisage,
tu aura beau danser le pogo, le ska ou le reggae,
certains voudront de toi profiter.
une petite momie sans interdit
qui a decidée de profiter de la vie,
pour demasquer les profiteurs,
c'est pas facile, faut quelques heures.
toute fraichement sortie de ton sarcophage,
je crains que tu n'ais pas les epaules assez larges.
mais vis ta vie ma momie,
il est déjà passé minuit.
les conseils sont inutiles
c'est en vivant que l'on apprend
et si dans un piege qu'on te tend
tu tombes et grille,
c'est dans mes bras que tu viendras
j'te consolerai, viens, on rigolera.
pffff, ça y'est elle est sortie,
j'vais pas dormir de la nuit,
j'vais m'inquieter
tu crois qu'elle rentrera à pieds ?
la vilaine fille me donne du souci
apres son bain de formol
elle a voulu boire du synthol !
on dirait qu'elle cherche les ennuis !
quelle idée aussi j'ai eu de l'avoir ainsi inventée !
ça y'est momie est reveillée,
j'allais pas la laisser grasse matiner,
c'est pas bon pour le ciboulot,
de ne pas se lever tot.
alors madame est amoureuse !
c'etait sur, j'l'aurai parier,
elle s'est fait raccompagner,
par un buveur de gueuse.
c'est le plus beau, c'est le plus fort,
le monsieur a fait des efforts,
il l'a joué gentleman,
avant d'ouvrir les vannes.
momie est toute chamboulée,
elle attend déjà des messages,
dans son coeur c'est déjà l'été,
t'emballes pas momie, reste sage.
voilà momie qui stresse
ses bandelettes sont toutes chiffonnées,
elle se voulait déjà déesse,
d'un amoureux attentionné.
pauvre momie, tu me fais de la peine,
mais tu t'es trop vite emballée,
viens avec moi, on va s'promener,
et de la terre nous serons reines.
allez momie, le jeu est terminé,
tu ne m'amuses plus, j'ai decidé,
de refermer sur toi le sarcophage,
tu n'etais pas assez sage.
mais j'ai bien aimé vivre à tes cotés,
un jour ou deux ça a duré,
le temps de cette histoire farfelue,
est desormais revolu.
Je viens prendre soin de la momie,
de crainte qu'elle ne s'ennuie.
mais c'est une momie farçeuse,
j'lai trouvé en train de jouer de la perçeuse.
elle n'en avait pas vraiment besoin,
c'etait juste pour embeter ses voisins.
elle pretend que ce sont des grincheux,
des gens etroits à l'esprit vieux.
pourtant je les ai vu ses voisins,
ce sont des gens vraiment tres biens
c'est juste qu'ils veulent pouvoir dormir
à l'heure où ma momie veut rire !
momie, il va te falloir être sage,
pour eviter les problemes de voisinnage
Un jour l'on apprend,
que de l'alcool faut être mefiant !
faut que j'explique ça à la momie,
elle veut plonger dans du formol !
j'ignore ce qui lui a pris,
je crois qu'elle est un peu folle.
Momie, veux tu sortir de là
un bain de formol,c'est pas une bonne idée !
tu as dejà été momifiée,
là ça fait bis repetita.
tu vas etre toute bourrée apres tu vas degueuler,
tu risques de salir tes bandelettes,
et de dormir sur la carpette.
ça y est elle a gerbé,
j'en etais sure, c'etait calculé,
cette momie c'est une vraie gamine,
et maintenant elle a bonne mine !
Aller momie, vas te coucher,
ta maman est fatiguée,
non tu n'iras pas danser,
trop crevée pour t'accompagner.
non tu n'iras pas seule
avec ta drole de gueule,
tu te f'rais draguer par des bizarres,
des mecs pas clairs, s'rait un lézard !
ils voudraient juste vivre un truc space
des hommes y'en a d'la pire espece,
apres tu risques de pleurer,
car on n'aura pas su t'aimer.
tu sais ma momie,
je t'aime bien moi aussi,
c'est pour ça que je veux te proteger
de tous ces mal intentionnés,
tu es etrange, tu as une drole d'image,
tu ne peux pas empecher que l'on te devisage,
tu aura beau danser le pogo, le ska ou le reggae,
certains voudront de toi profiter.
une petite momie sans interdit
qui a decidée de profiter de la vie,
pour demasquer les profiteurs,
c'est pas facile, faut quelques heures.
toute fraichement sortie de ton sarcophage,
je crains que tu n'ais pas les epaules assez larges.
mais vis ta vie ma momie,
il est déjà passé minuit.
les conseils sont inutiles
c'est en vivant que l'on apprend
et si dans un piege qu'on te tend
tu tombes et grille,
c'est dans mes bras que tu viendras
j'te consolerai, viens, on rigolera.
pffff, ça y'est elle est sortie,
j'vais pas dormir de la nuit,
j'vais m'inquieter
tu crois qu'elle rentrera à pieds ?
la vilaine fille me donne du souci
apres son bain de formol
elle a voulu boire du synthol !
on dirait qu'elle cherche les ennuis !
quelle idée aussi j'ai eu de l'avoir ainsi inventée !
ça y'est momie est reveillée,
j'allais pas la laisser grasse matiner,
c'est pas bon pour le ciboulot,
de ne pas se lever tot.
alors madame est amoureuse !
c'etait sur, j'l'aurai parier,
elle s'est fait raccompagner,
par un buveur de gueuse.
c'est le plus beau, c'est le plus fort,
le monsieur a fait des efforts,
il l'a joué gentleman,
avant d'ouvrir les vannes.
momie est toute chamboulée,
elle attend déjà des messages,
dans son coeur c'est déjà l'été,
t'emballes pas momie, reste sage.
voilà momie qui stresse
ses bandelettes sont toutes chiffonnées,
elle se voulait déjà déesse,
d'un amoureux attentionné.
pauvre momie, tu me fais de la peine,
mais tu t'es trop vite emballée,
viens avec moi, on va s'promener,
et de la terre nous serons reines.
allez momie, le jeu est terminé,
tu ne m'amuses plus, j'ai decidé,
de refermer sur toi le sarcophage,
tu n'etais pas assez sage.
mais j'ai bien aimé vivre à tes cotés,
un jour ou deux ça a duré,
le temps de cette histoire farfelue,
est desormais revolu.
samedi 12 mai 2007
Sans titre
Allanguie par la torpeur,
Lourde, sourde et immobile,
Ignorant volontairement l'heure
J'attends que se denoue le fil.
Un denouement sans mobile,
Sans crime mais dans la douleur.
Et s'il s'agissait d'un leurre,
Décharné, sterile et inutile ?
Lourde, sourde et immobile,
Ignorant volontairement l'heure
J'attends que se denoue le fil.
Un denouement sans mobile,
Sans crime mais dans la douleur.
Et s'il s'agissait d'un leurre,
Décharné, sterile et inutile ?
Missive
Chère Madame,
Vous avez recemment formulé la requête,
de voir plus rapidement pousser vos paquerettes.
Nous tenons à attirer votre attention,
sur le fait qu'en cette saison,
ces dernieres preferent le grand air,
à vos minables jardinieres !
Sans aucunement vouloir vous offenser,
veuillez plutôt penser à arroser,
vos géraniums souffrant à l'est,
que jamais la pluie ne leste.
Nous ne nous permettrions certes pas,
de mettre en cause vos talents (il doit bien en exister un ou deux quand même !!!)
toutefois, faîtes au moins semblant,
de jardiner comme il se doit !
Veuillez agréer, Chère Madame, nos sinceres salutations,
et surtout n'hesitez pas, s'il vous venait d'autres questions !
Vous avez recemment formulé la requête,
de voir plus rapidement pousser vos paquerettes.
Nous tenons à attirer votre attention,
sur le fait qu'en cette saison,
ces dernieres preferent le grand air,
à vos minables jardinieres !
Sans aucunement vouloir vous offenser,
veuillez plutôt penser à arroser,
vos géraniums souffrant à l'est,
que jamais la pluie ne leste.
Nous ne nous permettrions certes pas,
de mettre en cause vos talents (il doit bien en exister un ou deux quand même !!!)
toutefois, faîtes au moins semblant,
de jardiner comme il se doit !
Veuillez agréer, Chère Madame, nos sinceres salutations,
et surtout n'hesitez pas, s'il vous venait d'autres questions !
vendredi 11 mai 2007
Jeu de Société
mercredi 9 mai 2007
Les filles
la jalousie entre femelles,
voilà un beau sujet de nouvelle.
les femmes sont promptes à se detester
souvent proches à se mettre des raclées.
s'observant du coin de l'oeil,
elles font l'inventaire des défauts de l'autre,
celle-ci est gaie comme un cerceuil,
celle-là s'habille comme un apôtre.
celle-ci est trop jolie ?
elle a forcement joué du bistouri !
celle-là a prit 5 ans en une nuit ?
oui, c'est son mari qui lui donne du souci !
ah quel bel univers tendre !
pourtant on arrive à s'entendre !
la femelle est compliquée,
on le voit tous les jours avant l'été !
voilà un beau sujet de nouvelle.
les femmes sont promptes à se detester
souvent proches à se mettre des raclées.
s'observant du coin de l'oeil,
elles font l'inventaire des défauts de l'autre,
celle-ci est gaie comme un cerceuil,
celle-là s'habille comme un apôtre.
celle-ci est trop jolie ?
elle a forcement joué du bistouri !
celle-là a prit 5 ans en une nuit ?
oui, c'est son mari qui lui donne du souci !
ah quel bel univers tendre !
pourtant on arrive à s'entendre !
la femelle est compliquée,
on le voit tous les jours avant l'été !
Ménage de printemps.
On a tous des petits êtres dans notre tête,
qui sont à certaines heures envahissants,
ils ne faut pas leur laisser un espace trop grand,
sinon ils s'etalent et se la pètent !
C'est vrai qu'avec le printemps,
un bon ménage et un ordonnancement,
n'est pas inutile voire même benefique,
pour alleger cette clique !
qui sont à certaines heures envahissants,
ils ne faut pas leur laisser un espace trop grand,
sinon ils s'etalent et se la pètent !
C'est vrai qu'avec le printemps,
un bon ménage et un ordonnancement,
n'est pas inutile voire même benefique,
pour alleger cette clique !
mardi 8 mai 2007
Ch'tits vers sur moi !
Le joli mois de mai, ce jour, vient de paraitre,
c'est un mois que j'affectionne, celui qui m'a vu naitre,
une année fort mouvementée,
où volaient les pavés !
En mai fais ce qu'il te plait dit-on,
on ne pouvait esperer mieux, à cela j'aspire,
limiter autant que possible les contraintes, et rire,
des autres et de moi-même, et ce, sur tous les fronts.
Parfois la mélancolie m'assaille,
elle guette et bataille,
mais forte de mon armure de sourire,
je l'etouffe et la fait fuire.
Joli mois de mai
faisons ce qu'il nous plait,
cueillons les premieres cerises,
chantons la gourmandise !
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