Les réalités febriles vont et viennent, imbéciles,
laissant trop peu de place à l'onirisme fertile,
pourtant avec la naïvté d'un enfant, j'aime à me bercer,
d'illusions et de rêves, et si parfois la lucidité reveillée,
vient me tirer du rêve, c'est avec délectation que je plonge,
et volontairement choisis de me noyer dans un songe !
Songeons donc, et dictons, la couleur à nos rêves,
puisqu'ils ne sont dans nos vies qu'une trêve,
une oasis verdoyante, dans un desert trop rempli,
de réalités en rêves j'oscille, vais et viens, et m'emplis !
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