Aux arpents vains, vint un matin vibrant dont l'aube palpitait à maintes aunes à la ronde.
En spires insensées, les lieues s'etiraient en circonvolutions impactées,
formant le dessin d'horizons volcaniques foudroyant le destin de l'onde !
Imprimée intimement, l'ecorce tatouée, lechait ses plaies à la sève sucrée.
Et nourrissant la terre de son sang aux larmes dévorantes,
se deversait sans fin en une âme languide assourdissante.
Les vaguelettes mourrantes absorbées avidement par la terre vampire,
formaient une danse hypnotique, une transe où l'ether expire.
Aux cycles vains de la révolution, s'enchainent exsangues et blafards,
les disciples ceints à l'évolution, s'entravant à l'harangue, et à l'espoir.....
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